Prison des idéologies Patrice Faubert dit Pat l ' invité - 25.12.2010 12:15
L ' idéologie de la propriété , est devenue propriété de l ' idéologie ... " Pourquoi courir après le travail ? celui qui en a à donner vous traite comme un mendiant importun . " Je n ' ai pas le temps , revenez plus tard " . Mais si on répond " Je n ' ai pas le temps de travailler pour vous , ou je n ' en ai pas envie " , c ' est la révolution , la grève , les bases de l ' intérêt public s ' en trouvent ébranlées , la police arrive , des régiments entiers de la milice débarquent et installent des mitrailleuses . " B . Traven ( 1882 ? - 1969 ? ) " Le vaisseau des morts " Ed : La découverte , 2004 . Tout peut donc se détruire et se reconstruire , relativement vite . Si l ' on prend l ' exemple de Berlin en avril et mai 1945 , cette ville entièrement détruite par les bombes , une immense ruine , où l ' on put recenser environ cent mille viols et dix mille suicides chez les femmes victimes des viols par les soldats de l ' armée stalinienne . Les femmes purent , par la suite , avorter de ces futurs petits russes , en raison de conditions tout à fait spéciales ... surpopulation , famine , enfants nés de l ' ennemi , ect ... Lorsqu ' on voit Berlin en 2010 , comparativement au Berlin de mai 1945 , l ' on se dit qu ' effectivement tout semble possible à l ' être humain , tout totalement détruire , comme tout totalement construire ou reconstruire , et somme toute , sur une assez courte unité de temps . Mais ce que nous savons faire matériellement , au niveau de la société spectaculaire marchande techno - industrielle , nous ne sommes pas capables de le faire au niveau du moindre changement psychologique . Pour apprendre autrement , pour penser autrement . Ainsi , toutes les hiérarchies et toutes les compétitions sont aussi inutiles qu ' absurdes . La prétention , la suffisance , la catégorisation , la séparation qui en résulte , ne sont que les fruits d ' un crétinisme millénaire . Les mots sont impuissants à faire comprendre quoi que ce soit . Je le constate , avec mes articles , que personne ne semble avoir la capacité de comprendre . Comme dans les administrations nazifiées , où l ' on vous demande un papier que l ' administration à déjà en sa possession ... du style , comment vous appelez - vous ? veuillez nous renvoyer ce papier avec votre nom ... incompétence ? je m ' en foutisme ? je crois plutôt que le fascisme libéral , donne des consignes à ses agents , afin de compliquer le plus possible , la vie des gens ... Et puis , cela peut en décourager certains et certaines , à force de bêtise ! toujours des allocataires ou bénéficiaires de divers avantages sociaux , en moins ... Il ne s ' agit pas d ' être d ' accord ou pas d ' accord , il s ' agit de comprendre . " La société moderne impose à chaque enfant qui naît une camisole de force en l ' obligeant à se conformer à ses lois et ses principes . Il en résulte que les possibilités de l ' homme sont tuées dans l ' oeuf et que les mots " équilibre mental " et " folie " sont devenus ambigus . Existe - t - il encore un homme que l ' on puisse dire normal ? " Docteur Ronald D. Laing ( 1927 - 1989 ) " La politique de l ' expérience " Ed : Stock + plus , 1980 . Ainsi , si vous séparez votre vie de votre militantisme , vous êtes un militant , une militante . Mais si vous ne séparez pas votre vie de votre militantisme , vous n ' êtes pas un militant . Le militant , la militante , ne sont plus dans le monde de l ' humanité . Il / elle , sont dans le monde de la séparation . Si vous ne séparez pas votre vie de tous les jours de votre militantisme , vous êtes au - delà de tout militantisme . Et le fait de savoir que le militant séparé de sa vie est comme le militaire qui est séparé de la vie civile , ne saurait vous / nous vexer aucunement . Seul , justement , le militant / militaire se vexera , d ' autant plus , qu ' il est dans la séparation de sa vie . Le militant / la militante dans le séparé , ne sont que le militant / la militante du séparé . Le vrai militant serait donc finalement , le non militant . Le militant du non séparé . Le militant / la militante ne défendent que leur organisation , leur parti , leur idéologie , avant de défendre la vie . Avant de défendre la vérité . Et la vérité n ' est jamais d ' un parti , d ' une organisation , d ' une idéologie , la vérité n ' a ni dieu , ni maître , ni foi , ni loi . Elle n ' est constitutive que d ' elle - même . Dans tout militant , toute militante , il y a un dominant , il y a une dominante . Il est interdit de critiquer tant le militantisme séparé , que de dauber la domination en milieu militant . C ' est d ' ailleurs un moyen très simple pour identifier très vite , le militant , la militante , dans le séparé , et le militant / la militante qui sont en recherche de dominance . ( Voir mon article " La recherche de dominance " ) Sans compter tous ceux et toutes celles qui militent parce qu 'is / elles se font chier dans la vie . Et leur militantisme sera donc un militantisme ennuyeux et moralisateur . Qui serait cohérent dans ses idées et ses actes , n ' aurait aucunement le besoin de militer pour faire d ' utiles actions contre la société spectaculaire marchande techno - industrielle . Il lui suffirait de vivre sa vie de tous les jours , pour grever , manifester , bloquer , contester ... " En s ' appuyant sur ce que le cerveau sait de lui - même , on peut dire qu ' il est l ' instrument le plus compliqué et le plus remarquable de l ' univers . Aussi est - il surprenant qu ' à l ' ère des ordinateurs nous songions si peu à nous instruire nous - mêmes sur les structures et les fonctions du cerveau . " Paul D . maclean ( 1913 - 2007 ) Roland Guyot " Les trois cerveaux de l ' homme " ( Trois cerveaux hérités de l ' évolution coexistent difficilement sous notre crâne ) Ed : Robert Laffont , 1990 . Militer , sans être aucunement , un militant , une militante . Le non militant est dans la contestation . Le militant est dans la séparation . Qui dit militant / militante dit un parti , un syndicat , une organisation , une réunion , une élection , ect ... le non militant révolutionnaire , la non militante révolutionnaire , sont pour la fin de toutes les séparations et donc , de tout ce qui existe présentement . Le militant / la militante sont pour la consolidation des séparations et la consolidation de l ' ordre existant . et il y a des gens libertaires qui ne sont pas du tout des militants et militantes . Et il y a , nous le savons bien , des libertaires ( les plus nombreux et nombreuses ) qui ne sont dans aucune organisation anarchiste , et qui sont cependant , bien souvent , bien plus anarchistes que les " anarchistes " qui sont dans des organisations bien structurées et bien hiérarchisées . Comme la bureaucratie censée ne pas être dans les partis , la hiérarchie est supposée ne pas être dans les organisations libertaires . A quand un journal libertaire où tout le monde pourrait écrire , et pas seulement les petits copains et petites copines ? A quand une radio libertaire où tous les libertaires , toutes les libertaires , pourraient s ' exprimer , et pas seulement , les petits copains et petites copines ? avec les comites de censure , les comités de lecture ... qui ne sont que des comités de censure ! Le copinage n ' est pas seulement l ' apanage des 64 bourgeoisies , on le trouve aussi dans les quatre courants de l ' anarchie , à savoir son extrême gauche , sa gauche , sa droite , son extrême droite . Mais cela est surtout à la droite et à l ' extrême droite de l ' anarchie que le copinage se manifeste . Cela est logique , puisque la droite et l ' extrême droite de l ' anarchie sont des ponts relais avec les 64 bourgeoisies , dont les bourgeoisies gauchistes font partie . Souvent , le militantisme rend borné , buté , dogmatique , dictatorial , sans humanité . " Le génie , c ' est quatre vingt dix neuf pour cent de transpiration , et un pour cent d ' inspiration . " Louis Ferdinand Auguste Destouches dit Céline ( 1894 - 1961 ) Jadis , les situationnistes , qui ne furent jamais que 69 , comprirent bien que l ' on pouvait être plus révolutionnaire en dehors de l ' IS ( Internationale Situationniste ) qu ' à l ' intérieur même de l ' IS . Et de fait , bien des révolutionnaires furent plus situationnistes que les situationnistes contemplatifs à l ' intérieur même de l ' IS . Et certains situationnistes encartés à l ' IS ne purent éviter l ' exclusion , que par un relâchement certain de la rigueur organisationnelle , surtout vers la fin . Comme par exemple René Vienet ou Gianfranco Sanguinetti . René Vienet aurait pu être exclu pour infatuation , sotte suffisance , critiquant des auteurs sans même les avoir lus , comme l ' historien Soboul , que Viénet méprisait , sans l ' avoir lu ... avisé , Vienet démissionnera à temps . Quand à Sanguinetti , il aurait pu aussi être exclu pour vantardise pécuniaire , confinant à la malhonnêteté . Mais , en fait , quarante cinq exclusions , sur quinze ans d ' existence , ( 1957 - 1972 ) , c ' est peu finalement . Même s ' il n ' e n resta que trois , à la dissolution , Martin , Sanguinetti , Debord . Et si l ' on devait être exclu ou forcé à la démission , d ' un parti , d ' une organisation , dès que l ' on est plus dans la ligne d ' un parti ou d ' une organisation , ou dès que l ' on est à côté de ses pompes , il n ' y aurait plus grand monde dans les partis ou les organisations . Il faudrait déjà s ' exclure soi - même ! de nos jours , c ' est la vérité qui a été exclue des partis , et des organisations . Partout , dame vérité , est éconduite . Ou il s ' agit alors de la " vérité " de quelque vedette spectaculaire , qui n ' est que la vérité du spectacle ou spectacle de la vérité . ( Voir mon article " Les vedettes spectaculaires " ) . On ne veut la vérité nulle part . Et nous ne comprenons pas comment l ' on pourrait faire une révolution sociale , si la vérité n ' est plus admise même dans les cercles " contestataires " . De toutes façons , aucune révolution sociale , digne de ce nom , n ' est possible sans une révolution psychologique . ( Voir mon article " La révolution psychologique ) . " La liberté n ' est qu ' un vain fantôme quand une classe d ' hommes peut affamer l ' autre impunément . La liberté n ' est qu ' un vain fantôme , quand le riche par le monopole exerce le droit de vie et de mort sur ses semblables . " Jacques Roux , " le curé rouge " , ( 1752 - 1794 ) Et nous ne voyons pas non plus , dans la réalité de ce qui est , le sous prolétariat puisse pouvoir ou vouloir changer quoi que ce soit à la marche du monde . La misère ne donne pas la conscience , la misère prive de la conscience . Car la misère de la conscience ne peut - être la conscience de la misère . Et si presque inévitablement , la révolution sociale qui sera la révolution de la conscience , ou conscience de la révolution , viendra une fois encore , de l ' une des bourgeoisies les plus éclairées , qui devra se renforcer de tous les courants communistes libertaires et conseillistes , ainsi que de quelques autres fractions retournées des 64 bourgeoisies , et aussi d ' une partie importante du sous prolétariat . Si cette tentative de révolution sociale , ne veut pas rester à quai , dès le départ , comme le plus souvent . Tout le monde se croit parfaitement lucide , envers soi - même et les autres . En réalité , personne n ' est lucide , et personnellement , je sais que je ne suis pas lucide , ni envers moi - même , ni envers les autres . Et vous ? Et cependant , encore une fois , tout le monde se croit parfaitement lucide . Mais lucide par rapport à quoi ? C est comme les malades alcooliques , qui ne considèrent pas être en dépendance de l ' alcool . La dépendance à l ' alcool est chez les autres , pas chez eux / elles . Ce qui valable pour l ' alcool l ' est pour tout le reste . Sous ce rapport , nous sommes tous et toutes des alcooliques . L' anarchiste se croit parfaitement lucide , le gauchiste se croit parfaitement lucide , le fasciste libéral se croit parfaitement lucide , vous qui me lisez , vous croyez parfaitement lucide . Mais l ' anarchiste est prisonnier de son idéologie , le gauchiste est prisonnier de son idéologie , le stalinien est prisonnier de son idéologie , le fasciste libéral est prisonnier de son idéologie . Et la lucidité n ' est jamais une prison . La lucidité est forcément hors l ' idéologie , hors la religion . La lucidité n ' a pas de patrie . La lucidité n ' est ni homme , ni femme . " Dans chaque cas - que l ' univers soit éternel ou d ' âge fini - , la condition générale pour un ciel étoilé et sombre peut s ' énoncer simplement : La dimension de l ' univers visible doit être inférieure à la limite de visibilité . " " Edward Harrison , astrophysicien , ( 1919 - 2007 ) , " Le noir de la nuit , une énigme du cosmos . " Ed : Seuil , 1987 . Donc , nous nous ressentons tous et toutes comme lucides ! Cela n ' est pourtant qu ' une douce forfaiture . Au fond , qu ' y a t - il comme différence entre un libertaire qui paye son loyer , son électricité , son gaz , sa redevance télévision , son assurance auto , ect ... et un fasciste libéral qui paye tout de la même façon ? pour le capital , il n ' y a aucune différence , c ' est évident ! simplement l ' un paye son loyer ou autre en maugréant contre la société du spectacle ( " La société du spectacle " livre de feu Guy Debord ) et l ' autre en râlant contre les grèves , et autres troubles sociaux . Nonobstant , les idéologies qui les séparent , tous les deux entretiennent de même le capital .Et tant pour les hommes que pour les femmes . Donc quelles que soient nos idées , nous entretenons la machine du spectaculaire intégré ( terme forgé par feu Guy Debord ) , et peu importe à ce spectaculaire variationnel , que l ' on se dise ou se croit ceci ou cela , du moment que l ' on passe à la caisse du capital . Et si nous ne comprenons pas cette élémentaire démonstration , c ' est que nous ne sommes pas lucides , justement . En vérité , la lucidité nous serait insupportable . Nous nous rendrions compte que nous sommes tous et toutes dans la compétition . La compétition anarchiste , la compétition gauchiste , la compétition stalinienne , la compétition fasciste , la compétition capitaliste , la compétition sportive , la compétition sexuelle , la compétition d ' érudition , tout ce que nous touchons devient une compétition . Et cela est valable pour tous et toutes . Les anarchistes étant des gens comme tout le monde ! des consommateurs et des spectateurs . Et comme vous , je suis un consommateur et un spectateur . Toute critique que j ' adresse à autrui s ' adresse à moi - même , bien entendu . Nous sommes frères et soeurs en manque de lucidité . " Ni homme , ni femme , comme sa mère n ' est ni jeune , ni vieille , Yolande ni morte , ni vivante , la dernière d ' une lignée qui , en une seule personne , sut , à plusieurs reprises , assembler d ' irréductibles contraires , elle remercie le directeur et le chirurgien de l ' institut sexuel au nom des hommes qui eussent dû naître femmes et des femmes qui eussent dû naître hommes . " René Crevel ( 1900 - 1935 ) " Etes - vous fous ? " Ed : L ' imaginaire , Gallimard , 1991 Que pourrions - nous faire pour transformer la société spectaculaire marchande techno - industrielle , sans nous transformer avant tout , nous - mêmes ? le sous - prolétariat , dont je fais partie , n ' a aucun moyen intellectuel , ni aucun moyen d ' action psychologique , aucun moyen pécuniaire , pour changer quoi que ce soit à l ' ordre des choses du monde marchand . Les bourgeoisies riches auraient des moyens intellectuels et des moyens d ' action psychologique , mais elles craignent un véritable changement politique , et ne le souhaitant pas , elles ne feront rien pour impulser un véritable changement . Et puis , tant que l ' on a quelque chose à perdre , l ' on craint le moindre changement véritable . Nous voulons une révolution , alors n ' ayons rien à perdre . Il faut mourir à tout ce que nous possédons , à tout ce que nous connaissons . Mais nous sommes des frileux et frileuses , et nous ne voulons pas mourir à nos béquilles diverses . Car sans nos béquilles idéologiques et religieuses , nos béquilles spirituelles , nous tomberions par terre , sans pouvoir nous relever . C ' est du moins ce que nous croyons et craignons . Il faut donc ne rien à voir à perdre , pour être un esprit capable d ' entreprendre une révolution , la révolution est le synonyme de n ' avoir rien à perdre . Mais , hélas , moi , toi , lui , eux , elles , nous , vous , nous avons tous et toutes quelque chose à perdre . Nous sommes accrochés à nos croyances comme les huitres sur des rochers . Et pour faire une révolution globale , il faut pouvoir se décrocher de son rocher . Nous ne pourrons jamais faire de révolution ( voir mon article " La révolution psychologique " ) tant que nous serons dans la prison des idéologies qui sont les idéologies de la prison . Et au fond , toutes les prisons se valent , car la prison est toujours une prison . La prison des idées , la prison des idéologies , la prison des religions . " Vous voyez donc qu ' il est désormais impossible de trouver du pain . Et cela , vous devez le comprendre , est un trait essentiel du processus d ' édification de la société de l ' ersatz : on impose à toute une population un ersatz quelconque , et en un laps de temps très court l ' authentique , le produit d ' origine disparaît totalement . " " William Morris ( 1834 - 1896 ) " L ' âge de l ' ersatz et autres textes contre la civilisation moderne " . Editions de l ' encyclopédie des nuisances La prison des maladies , la prison de nos relations , la prison de nos théories , nous sommes tous et toutes les gardiens et gardiennes de nos propres prisons . Et comment pourrait - on se croire lucide après cela ? se croire lucide , est décidément ne pas être lucide du tout ... La lucidité est simplement le fait de savoir que l ' on est pas lucide . Et la lucidité est le contraire du désespoir . Car , il n ' y a pas à désespérer de ce qui est sans espoir . Et la société spectaculaire marchande techno - industrielle est absolument sans aucun espoir . Car là , où il n ' y a pas de vie , il n ' y a pas d ' espoir . Le désespoir n ' est ni riche , ni pauvre , ni de gauche , ni de droite , il est désespoir . Les 64 bourgeoisies sont le réel désespoir de l ' humanité , qui sont l ' humanité du désespoir . Chaque jour , nous devons monter sur le ring de la politique capitaliste , et nous boxons , boxons , boxons ... Et nous donnons des coups , et nous prenons des coups , et nous appelons cela la " vie " en société . Et déjà des relèves aux masques faussement novateurs , sont prêtes à suppléer aux manifestations capitalistes par trop usagées ... car cela a été si souvent dit , nos maladies tant physiques que mentales , sont nos peines . Toutes nos peines qui sont suintées par la société spectaculaire marchande techno - industrielle et nous sommes tous et toutes , la société du spectaculaire intégré . Tous les signaux de la robotique et de l ' artilect s ' inscrivent tant dans nos corps que dans nos esprits . Et toutes les souffrances sont comme la rage , une transmission qui est la rage de toutes les souffrances . Nous ne savons pas vivre , car nous ne savons pas voir , nous ne savons pas entendre . " Un couchant des cosmogonies ! Ah ! que la vie est quotidienne ... Et , du plus vrai qu ' on se souvienne , Comme on fut piètre et sans génie ! Jules Laforgue ( 1860 - 1887 ) " Les complaintes " Recevez mon salut libertaire paraphysicien non encarté . Patrice Faubert dit Pat l ' invité www.hiway.fr LIENS : http://hiway.fr et http://www.hiway.fr//Pages/InviT10.html |